FAQ, Plasma Marin

Le plasma marin est-il indiqué en cas de problème de thyroïde ?

Plasma marin de Quinton pour la thyroïde

Le plasma marin est indiqué en cas de problème de thyroïde (Hashimoto, hypothyroïdie et hyperthyroïdie).

Mais attention, car les applications ne seront pas toujours les mêmes, et seront fonction de l’état de la glande (variable).

En cas d’hypothyroïdie, on conseille de boire un plasma marin plutôt hypertonique (pure et en cure de 3 semaines), afin de « réveiller » la glande (tout en vérifiant régulièrement les marqueurs en iode et l’état de fonctionnement de la glande par des prises de sang). Buvez de l’hypertonique le matin (de 10 à 40 ml) et de l’isotonique en après-midi et le soir, en fonction de votre capacité adaptative, et ce, toute l’année, car l’isotonie ne nécessite pas de cure (voir la question n°10).

En revanche, en cas d’hyperthyroïdie, on conseille de boire du plasma marin sous forme isotonique, voir même hypotonique (donc diluée, ou très diluée).

Parmi les causes du dysfonctionnement global de la glande, il peut y avoir l’épuisement du système nerveux, une attaque virale, une congestion, mais aussi, la déshydratation de la glande (pour rappel : acidification par notre mode de vie délétère = déminéralisation = déshydratation des tissus = faiblesse, pathologie et vieillissement). Comme toujours, il faudra écouter son organisme et lever le pied en cas de symptômes (si nécessaire). Il est important de boire de l’eau de mer malgré tout pour la raison évoquée ci-dessus, mais si vous booster trop l’organisme avec une eau de mer hypertonique lorsque vous êtes en hyperthyroïdie, vous vous exposez à des suractivités organiques délétères.

Donc, en cas d’hyperthyroïdie, il faut y aller mollo, comme on dit, en buvant de l’eau de mer hypotonique. Bien entendu, comme toujours, on conseille d’adopter un mode de vie hygiéphile parallèlement à la prise de plasma marin, afin de favoriser les processus hémostasiques de l’organisme (le retour à l’équilibre).

Enfin, ne vous passez pas de vos médicaments du jour au lendemain. Parlez-en avec votre médecin. Soyez prudent(e). Faites les choses progressivement. Et faites des prises de sang régulièrement pour voir où vous en êtes.